Pour les fêtes, Julien, notre chef à domicile spécialiste de cuisine française à Paris, nous livre une recette qui ose l’association étonnante du chocolat et du vin rouge, pour accompagner une bavette. Une recette plutôt facile, et qui fait sensation !
Ingrédients pour 2 personnes :
- 2 bavettes
- 1 grosse échalote
- une noix de beurre
- 3 c-à-c de fond de veau diluées dans 300ml d’eau
- 20 cl de vin rouge
- 20g de chocolat noir 70% et plus
- Carottes
- Pommes de terre
- Céleri boule
- Girolles
- et autres légumes de saison de votre choix
- Huile d’olive
- 2-3 tiges de ciboulettes pour la finition
Pour les tuiles :
- 80g d’eau
- 10g de farine
- 20g d’huile
- 1 pincée de sel
- 2 pincées de poudre de cacao
Préparation :
- Blanchir pendant 3 à 4 mn les légumes grossièrement coupés dans de l’eau salée. Les égoutter et les sauter à l’huile d’olive sur feu vif..
- Pour la sauce : émincer l’échalote et la faire revenir doucement dans le beurre. Ajouter le vin rouge. Faire réduire de moitié, et ajouter le fond de veau, lier et faire réduire. Ajouter le chocolat noir et lier. Passer au chinois et réserver.
- Pour la tuile chocolat : verser tous les ingrédients dans un saladier et mixer. Faire chauffer la poêle dans ajout de matière grasse. Y verser une petite louche. Une tuile dentelle va se former. Décoller à la spatule et retirer de la poêle dès qu’elle prend une couleur dorée.
- Couper grossièrement la bavette, la cuire sur feu vif en aller-retour.
- Dans une assiette creuse, disposer les légumes sautés, puis le boeuf et la ciboulette émincée. Arroser de la sauce meurette-chocolat et poser la tuile sur le tout.
A propos du chef :
Julien est chef à domicile sur AnotherChef.com. Privilégiant les produits de saison, déclinant les légumes à toutes les sauces, et notamment les légumes oubliés, Julien nous livre une cuisine que l’on pourra classer dans la Bistronomie. C’est une cuisine durable, très axée sur le végétal, à la fois contemporaine et très empreinte des traditions françaises, où les grands classiques sont revisités. C’est d’abord l’oeil qui se régale, puis les papilles nous remercient.
